NOTRE HISTOIRE
1919 - 2019
Depuis plus de 100 ans le nom FAYS est associé à la forêt
1919
Arthur Fays – mon grand-père – décide à la fin de la première guerre mondiale,
de créer son entreprise de travaux forestiers (plantations et gestion de patrimoines
forestiers) et d’exploitation forestière.
1945
A la fin de la seconde guerre mondiale, son fils, André, s’associe à lui en exploitation forestière, se spécialisant d’abord dans l’achat des bois sur pied (feuillus et résineux), puis développant un site
de découpe des bois en billons destinés aux charbonnages et autres industries de l’époque avant de
se tourner vers la gestion de scieries en Belgique et en Allemagne.
A eux deux, ils vont gérer, au sein des Ardennes belges, des forêts privées pendant plusieurs
décennies, s’avérant des professeurs avertis m’inculquant dès mon jeune âge l’amour et le
respect de la forêt, l’intérêt pour le bois et ses connaissances techniques.
En passant une grande partie de mon enfance dans les forêts et les plantations, j’ai, sans le savoir, tracé ma voie professionnelle : ayant fait le choix de la nature et de la vie au grand air, j’ai privilégié l’aménagement des forêts ainsi que leur valorisation en m’attachant à harmoniser l’amont et l’aval.
1973
A l’âge de dix-huit ans, après émancipation validée par mes parents et conjointement aux études, j’ai pu créer ma première société et faire mes premiers pas dans l’univers professionnel en assurant la gestion de petits patrimoines privés et de reboisements.
Quelques années plus tard, ce sera l’accès à l’exploitation forestière et l’exportation de bois feuillus et résineux en grumes ; puis la transformation, l’importation et l’exportation de grumes et bois débités, et enfin le négoce international et l’expatriation pour gestion de sites industriels, débouchant sur l’accès aux forêts tropicales, car, si les forêts tempérées ont été mon berceau, les forêts tropicales et la richesse de leur biodiversité m’ont toujours fait rêver ; il était dès lors inconcevable de ne pas m’intéresser à ces univers fragiles, proies de nombreuses convoitises.
2000
Le passage au 21ème siècle est marqué par la réorientation de mes activités :
Orientées vers l’appui à des gouvernements, des organisations reconnues ou des intérêts privés, recentrées sur l’expertise et la consultance en zones tropicales et tempérées, dorénavant liées à un code éthique Fayswood, leur fondement se trouve dans des valeurs morales garantissant l’exécution de tout mandat dans le respect des intérêts de chacun.
2010
A partir de cette date, à Madagascar, mise en place d'un site expérimental de réhabilitation de collines et d’environnements abandonnés ou dégradés en vue du développement rural, menant à de multiples essais de gestion forestière et agroforestière.
Aujourd’hui, ces méthodes ayant séduit quelques partenaires, sont transposées dans d’autres régions du globe.
Expert international amont / aval forêt, j’interviens à chaque étape de la vie des forêts et du bois, depuis la recherche et l’aménagement de sites de plantation ou de reboisement et la plantation jusqu’à l’exportation et le transport de produits finis.
Avec une expérience professionnelle de plus de 50 ans, mes prestations concernent :
Je travaille avec passion pour faire vivre
tout projet dans lequel je m'engage Richard Fays
Belge et avant tout ardennais, je suis très fier de tirer mes origines d’une région de basse montagne extrêmement
riche et variée, couverte de forêts d’où elle tire probablement son nom, « Ar’Den », en celte, signifiant ‘la sombre’,
et s’étendant sur 4 pays (Allemagne, Belgique, France, Luxembourg).
Le sanglier digitalisé qui marque les frontières de la province du Luxembourg belge, est le digne représentant
d’une magnifique province forestière dont il symbolise parfaitement le caractère de ses habitants, en grande
partie des ardennais, et leur opiniâtreté à défendre leurs idées.
Je suis très fier que cette province et ses paysages grandioses où se mêlent résineux et feuillus, souvent majestueux, soit la mienne.
C’est toujours avec un plaisir immense que je franchis ses frontières pour m’imprégner de ses parfums simples et subtils où se mêlent odeurs des forêts et des champs et me transposer dans ma jeunesse.
J’ai néanmoins choisi de vivre en zones tropicales et plus exactement sur une île d’une richesse prodigieuse en termes de diversité et de biodiversité – Madagascar - où je ne parviens jamais à retrouver ces sensations de terroirs ardennais ou gaumais, mais où en revanche, j’en ai trouvé bien d’autres, tout à fait particulières à cet environnement exceptionnel.
Ainsi j’ai la chance, à chaque fois que je voyage en Belgique (et dans des forêts tempérées) ou que je rentre à Madagascar, de retrouver des sensations olfactives typiquement adaptées à la région dans laquelle je me trouve.
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